*prete a soigner* (Elevan et Arfel)

*Lorsque la dragonne ouvrit les yeux, elle se retrouva avec les autres dans l'esprit d'Arfel. Le plus dur restait à faire, il fallait la retrouver. Ares contrôlait sa Bête à distance elle pourait donc protéger ses deuc amis sans difficulté.

Ce qui l'inquiétait maintenant était le sentiment que l'elfe noir était passé. Les cauchemards glauques du nécromancien combinés à des souvenirs tristes auaient pu faire du dégât. Elle espérait de tout son coeur qu'il n'y ait pas de problème. Elle observa autour d'elle, mais dû se résoudre à s'avouer qu'elle était désorientée. Elle préféra cependant ne pas le montrer.*

Ici nous sommes dans un endroit qui semble dangereux. Je vais prendre la forme de ma Bête. Je ne serais ni humaine, ni dragonne. je serais... quelque chose... d'étrange...

*L'humaine Fura fit sortir deux longues ailes à forte voilure de son dos. Les ailes vert émeraue passèrenet au noir brumeux.

Son visage se déforma hideusement, prenant un aspect à la fois reptilien et mammalien, curieux hybride entre un visage humain et un visage bestial.

Ses jambes et ses bras s'allongèrent, et ses mains devienrent une série de 5 longues griffes.

Si son apparence faisait penser un peu au reptile, on se rendait compte qu'effectivement elle ne tenait rien du dragon. A vrai dire, elle ressemblait même plus à un loup avec sa nouvelle démarche.

Maintenant parée au combat en cas de besoin sous sa forme la plus puissante, elle s'éloigna légèrement du groupe et pris les devant.*

Allons y

(Arfel, ze peux pas dire ce que tu as ds le crâne :p)

*Ils sont dans un endroit ou l'air est lourd. Ils semblent peser le double de leur poids à chaque respiration, et s'alléger de 2 fois leur poids quant ils expirent.

Ils sont tout les trois au milieu d'une bouilli de néant total : de leur corps se dégage de la lumière. Tout est noir autour d'eux... sauf à l'horizon : autour d'eux, loin là bas, il peuvent compter sept point lumineux qui dégagent des atmosphères différentes, et des sons différent.

Puis ses points commencent à se rejoindre en un seul point, en même temps que le soleil envahi de sa lumière le ciel dehors. C'est de là-bas que l'on peu entendre des cris... il n'ont pas vraiment d'autres choix que de s'en approcher.*

*Elevân décide d'avancer le pas et coupe sa respiration : il s'aperçoit qu'ils n'ont pas besoins de respirer dans cette "dimension". Etant plus léger, il avance plus vite vers le point lumineux... le temps est comme dilaté.

Elevân tient avec peine la main de Jujoss, car dans cette, partie tout semble leur échapper.

Il arrive devant ce point lumineux qui est en faite une sorte d'énorme bulle.
Il se retourne pour voir si tout le monde et ici.*

*Jujoss suivait Elevan. Lorsqu'il lui prit la main ca la rassura. Elle ne se sentait pas comme d'habitude dans cet endroit. Elle sentait comme un poids. Elle ne savait pas trop pourquoi ni comment... Elle avanca vers l'énorme bulle.*

#Qu'est ce donc ? étrange...#

*Au travers de cette étrange bulle, comme des ombres chinoises, se déroule un combat. Sans qu'ils ne sachent pourquoi, la bulle les englouties : ils se retrouvent pile au centre des cauchemars d'Arfel...

Le cadre est très sombre :
Ils se retrouvent les pieds dans l'eau jusqu'aux genoux, ils sont sur une plage. En face d'eux, un sable rougissant s'étend à perte de vue. Des corps tombes par centaines, sous le coup de cavalier, qui ne font pas la différence entre hommes, femmes, et enfants. C’est une véritable boucherie, et les cries ne semblent se tarir.

Il ne peuvent retourner en arrière, car aussi loin qu’ils peuvent regarder, il n’y a pas d’autre issue que traverser au milieux des coups et des corps. Derrière cette plage, s’étant une forêt de pin immense, comme des cèdres.
Mais le plus étrange, est qu’il y a une autre scène qui se déroule plus ou moins par-dessus l’autre, sans que pour autant la logique ne soit interrompue : des étranges loup-ombres se promènent et aide à la tuerie, avec une joie implacable… ce sont des intrus.

Personne ne semble avoir remarqué Jujoss, Fura et Elevân, sauf les loups qui s’approchent dangereusement d’eux.*

*La Bête immonde suivant Jujoss et Elêvan pousse un hurlement à en faire trembler les âmes. Les loups ombres stoppent un moment.

Les créatures noires semblent se détailler, mais aussi terribles que soient les Bourreaux, c'est Fura qui à ce moment semble plus puissante.
Du haut de maintenant ses deux mètres au garop, Fura grogne de nouveau et fond vers les loups. Ceux-ci se jettent tous sur elle, et déchirent son cuir épais. Malgré celà elle tient bon et se met à les tuer les un après les autres avec un sourire et un rire visiblement aussi sadique que ceux des loups.*

*Il éloigne Jujoss pour lui éviter des coups, en l'écartent du bord : l'eau est serte froide, mais elle semble être d'une certaine protection.
Il regarde avec un étonnement visible Fura mettre en pièce aussi rapidement les ombres.*

#Quel force ! si j'avais été le seul à rentrer dans l'esprit d'Arfel... jamais je ne m'en serais sorti !!!... heureusement qu'elle est la !#

*Mourir dans l’esprit d’Arfel, c’est revenir à la case départ : on ne revient pas dans le monde réel, car il faut trouver le chemin pour sortir… maintenant qu’ils sont prisonniés de la bulle. Elevân s'approche de Fura tout en regardant les dégâts causé.*

Tu... comment te sens tu ?

*Jujoss poussa un cri en voyant les loups se jetter sur Fura. Elle aurait voulu l'aider, elle ne savait pas comment ! Elle savait qu'elle n'en était pas capable. Puis Elevan l'écarta. Jujoss n'eut d'autre choix que de regarder Fura mettre en pièce ces monstres. Une fois terminé Jujoss se rapprocha de Fura*

Tu vas bien ?

*La Bête se tourne vers eux et pousse un hurlement terribleet sinistre. Impossible de dire si sa prochaine proie ne sera pas un de ses deux compagnons. Mais finalement le monstre se calme.
De sa voix rocailleuse elle parvient enfin à articuler.*

Ne vous occupez pas de moi avancez. Ma Bête est dans son élément, je ne risque rien.

*Ses plaies béantes se referment. Elle passe près d'eux. Jujoss et Elêvan sentent un froid intense les submerger au moment ou elle les frôle.

Si la Bête ne les attaque pas, elle n'en est pas moins une créature dangereuse et néfaste.*

*L'eau sous leur pas se dégage rapidement, comme s'il allait s'en suivre un Raz-de-marré, et lentement cette espace est comblé par du sang : l'eau de la mer recule devant l'avancée du carnage. Pourtant la mer est d'un calme olympien, pas un remous.

Les assassins sont des êtres richement vêtues, il n'est pas question ici de brigands, mais d'elfes à la peau et aux cheveux blanc comme sel... leurs armures ne subissent aucun dégât (malgré la riposte des malheureux qui se font tuer), et jamais taché de sang. Mais leur regard est complètement noir et vides... comme des machines ils tuent. Leur chevaux sont indistinctes et noir, comme des fumés à silhouettes équestres.

Autour de Fura, Jujoss et Elevân, il n'y a plus d'eau : il ne sont plus protégé. Il se font de suite attaquer comme les autres. La scène semble être au ralentie... mais ils n'échapperons pas au courroux.*

*La Bête n'attends pas la réaction de ses compagnons. Rapide comme l'éclaire, elle les attrape, les lance littéralement en l'air de manière à ce qu'il retombent sur son dos.

Maintenant sur son dos, ils peuvent se rendre compte qu'elle a encore pris en taille. Elle déplie ses deux longues ailes et décole pour éviter l'essentiel des coups.*

*Jujoss s'accrocha bien a Fura, enfin la créature qu'était devenue Fura. Elle se tourna vers Elevan et lui demanda si ca allait. Elle espérait tellement que tout se passerait plus ou moins bien. Elle se sentait toujours aussi bizarre. Elle recevait des droles de signaux. Ca venait certainement de l'esprit d'Arfel. Elle n'avait évidement jamais connu ca auparavant.*

#Et après ? nous avancons vers, apparement, la seule issue possible mais ensuite ? Que se passera t'il ?#

*Sans s'en rendre compte elle avait utilisé son pouvoir de télépathie et avait transmis ce message a ses compagnons.*

*Elevân était retombé derrière Jujoss. Il met une main sur son épaule pour la rassuré sur sa santé. Ils sont bien au dessus du champs de bataille... presque tout le monde est mort. Elevân met à contribution ses connaissances.*

Merci Fura !!!
Il faut trouver Isméas !... il est le chef des troupes ! c'est lui qui nous guidera à Arfel petite...

*Ce qu'il n'avait pas pensé est qu'ils ne cherchent pas vraiment "Arfel petite"... mais grande. Au premier abor, et par rapport à la scène qui se déroule, Elevân pense qu'il faut trouver la petite fille. Il ne sait tout bonnement pas qu'en plus une petite Arfel, il y en a une autre grande qui se cache, dans ce cauchemar.*

C'est Isméas qui a tuer sont père... qui fessait partie des dernières victimes. Cet Isméas a normalement une apparence différente ! L’élément qu’il contrôle, l’eau, le trahi bien des fois… Peut être que tu pourrais le trouver ?!

*Il dit ces mots pour Jujoss, qui contrôle bien l’élément eau, et qui par conséquent, elle est la mieux à même pour dégoter le traître Isméas.*

*Jujoss écouta. Elle regarda par le bas*

Nous sommes trop haut pour que je puisse vraiment distingué quelqu'un de différent mais descendre serait de la folie car nous serions a hauteur des ennemis s'il en reste encore... Je préfère donc utiliser une magie simple pour localiser.

*Jujoss se concentra et demanda dans un language elfique de voir tous les etres controlant l'élément de l'eau. Elle précisa que ces etres devaient etre vivants. C'est alors que lui apparut plusieurs taches de bleu. Son attention fut attirée par une tache bien plus importante que les autres.*

La ! Je pense que c'est lui...

*C'est bien lui ! Isméas sort une dague elfique et s'approche du chef des malheureux envahi.
Arfédon... le véritable père d'Arfel est par terre, une blessure à la jambe l'empêche de faire face dignement à son adversaire. Un peu plus loin, sous le corps de sa mère qui l’a protégé, la petite Arfel tente de rejoindre les bras de son père.

Ils sont un peu loin pour voir le déroulement exacte de la scène, mais il peuvent voir avec certitude, la dague frapper Arfédon. Et la un silence s’en suit, comme pour un deuil, aucun son n’est perceptible, même pas les voix de Jujoss, Fura ou Elevân.
Une petite fille se jette sur son père agonisant, et vite réceptionné par les cheveux, par Isméas… qui se met à la tenir fortement et la rejette en arrière. Tout en rajoutant avec le sourire du vainqueur.*

« Petite âme, tu as de la chance aujourd’hui ! c’est toi que j’ai choisi !!! Garde ce poignard… il te sera utile plus tard ! »

*Il s’en suit un ricanement ignoble de sa par… puis les troupes disparaissent comme dans une tempête de sable, laissant Arfédon mourant et sa petite fille qui le regarde perdu dans ses larmes et cris.*

*La dragonne redescend en flèche mais quelque chose d'anormal se passe tout à coup. Une quantité phénoménale de hurlements se font entendre. Les personnages du rêve voient maintenant la Bête.*

Que dois je faire? Les attaquer ou fuir?

*Elevân ne sait pas quoi répondre Fura : les attaquer ne rimerais a rien, et d'un autre, fuir serait pas mieux. Quand on ne sais absolument pas quoi faire, la fuite est encore la meilleur des solutions.
Elevân dis attentivement à Fura, d'un ton rassurent.*

Ce n'est pas grave... il vaux mieux fuir un peu plus loin et voir ce qui ce passe !

hj : Vous pouvez totalement délirer aussi... tout est possible. D'ailleurs Fufu, si tu veux y mettre des éléments spécifique à Rod tu peux... il a laissé sa trace dans son esprit.

*Les cieux se ternissent et menace de s'effondrer. Une pluie battante commence à s'étendre sur toute la plage, et laver le sol : les corps commencent à disparaître, et une sorte d'érosion rapide creuse le sol. A tel point qu'à la place du sable, il y a un vide immense et noir.
Ils sont seules... à par en face d'eux, une colonne intacte de sable qui soutient les corps d'Arfédon et la petite fille.

Le ciel continu à déverser sont amertume... et les arbres sont immobiles, les racines dans le vide également. Ils peuvent remarquer que la seule chose "naturelle" qui n'a pas disparu sont ces arbres.

Une voix profonde se met à les appeler un à un... demandent le pourquoi de leur venues !*

Qui êtes vous ?!!! et que venez vous faire ici !!!?

*Fura répond du tac o tac.Sa voix se propage dans tous les esprits.*

Il faut sortir de tes rêves Arfel, sinon tu disparaîtras comme Rödschrek...
Ce sont ses souvenirs tristes qui ont eu raison de lui dans ce monde.
Toi tu mérite mieux que ça.
Il était pitoyable, mais toi tu es forte, tu es quelqu'un de réel pas une stupide marionette facile à manipuler.

*La dragonne proférait volontairement des abominations allant à l'encontre de l'elfe noir. Car s'il était encore là, elle voulait le faire réagir lui aussi. Tant qu'à sauver une âme, s'il y avait possibilité dans aider une autre, pourquoi pas...*

*S'il ne se manifestait pas pr le moment, elle augmenterait la dose.*

*Jujoss se douta que s'était Arfel qui demandait cela.. Ou du moins que l'un des personnages de l'imagination d'Arfel qui demandait cela. Une chose était sure, on voulait savoir qui ils étaient.*

Arfel, je t'en supplie... Sors de tes rêves... Reviens vers nous ! Nous savons que tu es forte.. Nous connaissons ta determination et ta force de caractère. Nous sommes donc persuadés que tu es capable de sortir de tout cela !

*Arfel était l'amie de Jujoss... Et elle lui manquait*

hj : p'tit dessin représentant presque parfaitement mon méchant Isméas : http://wen-m.deviantart.com/art/Commission-Largo-22945948

*Rien ne se fait entendre à par le vent dans les feuilles, pendant un moment. Après réflexion, la pluie devient plus forte encore, c'est un véritable torrent qui s'abats sur eux. La voie sort maintenant de chaque arbres. Avec une voix de souffrance, tonnante au début... mais qui au fil des mots s'efface.*

Partez d'ici !!! vous n'êtes qu'illusion !! vos mots sont poisons ! votre présence trop lourde, et votre aide impossible...

*Le ciel s'assombrir, et des orages violant retentissent... un arbre est touché par la foudre : tout les arbres sont envahi par un feu vert jaune, mais ne se consument pas vraiment.*

*Le feu jaune vert, est utilisé pour créer des gardiens protecteur... Elevân comprend le sens de son rêve, et tente ça chance : il lui crie*

Arfel !!! c'est Elevân !... je sais ou tu es, ce n'est pas la peine de te cacher...

Souviens toi ou je t'ai trouvé aprés la mort de tes parents... En haut d'un grand cèdre... comme ceux que tu as créé pour te protéger... te protégé contre tes cauchemars !!!

*Elle les avait implanté aussi pour qu'ils n'approchent pas : Fura ne pouvait pas s'infiltrer entre les arbres.*

Si... si tu me le permet, je peux venir t'aider comme la première fois... Arfel... Arfel ?

*Sa voix est plaine d'émotions plaintives. Mais Arfel n'en fait qu'à sa tête et ne répond pas... toujours aussi têtue la bougresse !*

Je n'approcherais pas quoi qu'il arrive, je suis une gardienne, mais je ne lis pas les coeurs. En revanche ne me prouves pas que tu ne vaut pas mieux que ce stupide elfe noir...

*A ces mots le monde s'assombri et les arbres commencèrent à changer de forme, devenant rouges vifs.*

*Jujoss les écouta. Elle ne savait trop que faire pour aider Arfel. Elle n'était pas gardienne et ne connaissait pas l'histoire d'Arfel... Elle ne connaissait pas autant de choses que Fura ou Elevan. Elle préféra se taire. Mais n'en pensait pas moins ! Elle voulait qu'Arfel s'en sorte... C'était une des ses plus fidèles amies*

*La petite fille qui pleure sont père, retire le poignard qui l'a frappé... puis les fixes, apeuré par l'apprence que prennent les arbres. Elle se met a crier en direction de Fura, les mains serrant la lame meurtrière.*

JAMAIS !!! Vous ne comprenez jamais RIEN !!!

*Puis la petite Arfel abandonne le corps de son père, courant dans le vide, elle rejoint la forêt, qui cette fois se consume réellement.*