*prete a soigner* (Elevan et Arfel)

*Jujoss ne dit toujours rien. Elle ne sait pas quoi dire et son désarroi la déstabilise énormément.*

*Pour le réveiller un peu, Elevân se lève, le prend par le col, et le décolle du sol. Il ne pense pas que l'elfe joue la comédie, mais il ne veux pas lui faire de cadeaux. D'une voix finement saisissante, et d'un calme platonique*

Rödschrek... fils des morts et des nations obscures des drows, dit moi vite et précisément, pourquoi tu te trouve dans l'esprit de ma petite fille Arfel ?!

*Il avait intérêt à bien répondre s'il n'avait pas envie d'avoir plus mal, surtout que personne ne serait la pour l'en empêcher*

*Par derrière Elevân, Arfel regarde intensément l'elfe noir... son regard est très étrange, voir oppressant. Depuis tout à l'heure, elle ne parle pas et ne fait que de l'observer.

Elle aussi voudrais savoir pourquoi il est ici... mais pense qu'il n'en sait rien. Elle laisse faire tout de même Elevân. Elle croise les bras las... et laisse perler quelques larmes les yeux bien ouvert, avec un sourire discret.

Elle attend beaucoup de sa réponse... ça pourrait l'aider a y voir plus clair.*

*L'elfe noir ne se débâts même pas et tente de tourner la tête.*

Si je le ... si j'le savais... si j'savais comment partir, je serais déjà plus là...

*Elevân le regarde aussi étrangement, il sert son col d'avantage, et rapproche sont visage du sien. On voit bien qu'il est a la limite d'exploser, mais se contient.*

Bien... à ta guise jeune elfe noir ! Je sais comment aider Arfel à revenir, Fura sait comment nous faire revenir... mais toi, tu ne sais rien ! Et ton ignorance va vite te coûter cher si tu ne me dis rien !!!

Alors je vais poser ma question différemment : Comment peux tu expliquer ta présence ici ? ou étais tu, et que fessais tu avent de te retrouver ici ?!!!

*Arfel en connait les réponse, mais ferme toujours son clapé.*

*Rösdchrek grimace, Elêvan lui fait mal. Mais il ne dit rien, il préfère rester bloquer plutôt que de parler de la porte des âmes.*

*Elevân fait une grimasse : le jeune homme est réellement dans un sal état, et semble avoir des difficultés à mettre en ordre ses idées. Il a une extrême envie de lui amocher encore plus le visage.
Arfel pose une main sur le bras d'Elevân, elle lui dit quelque chose à l'oreille. Elevân le jette au sol comme un vieux tas, sachant bien qu'il ne pourrait rien en tirer. Et rajoute d'un ton autoritairement méprisant.*

Tu as de la chance misérable ! mais la prochaine fois que tu croise mon chemin, ta chance basculera très vite !!!

*Puis il se tourne vers Arfel*

Viens ! rentrons !!!

*Rödschrek tomba lourdement sur le sol et étouffa un râle de mauvaise humeur. Il se releva difficilement, ayant maintenant retrouvé un semblant de force, et regarda Elêvan avec un regard noir.*

#Toujours le même...#

*Elevân s'éloigne et se met prés de Jujoss et Fura, pour discuter de leur situation et trouver une solution. Mais la demoiselle ne les rejoins pas tout de suite, elle reste planté devant Rod un moment, les mains derrière le dos.

Elevân l'appelle pour qu’elle vienne et laisse ce "mécréant". Elle sourire doucement devant le terme utilisé par son père, puis s'approche de Rödschrek. Du bout des doigts, elle relève sont menton pour qu'il se redresse un peu, et essaye de lui enlever ce méchant regard de des yeux.
Arfel lui souffle à l'oreille, d'une voix légère comme un souffle.*

Mécréant ? Est-ce vrai petit elfe ? ton regard mauvais ne sert à rien sur lui ! mais prouve lui plutôt que tu n'es pas ce qu'il pense de toi... c'est ainsi que tu pourras le défier.

*Ses paroles sont pleines d'espoir : elle espère ne pas se tromper à sont sujet. Elle baisse la tête et commence à rejoindre le groupe assit au sol.*

*Fura regarda Jujoss et Elêvan.*

Bon, je crois qu'il va falloir rentrer...

*En retrait, le visage de l'elfe noir s'était rabaissé*

*Rödschrek regarda s'éloigner Arfel et fit demi-tour, pour cacher son soudain triste sentiment. Il commença à marcher, ramassant les bouts d'étoffes tombées de ses haillons, afin d'en recouvrir plus ou moins les blessures de ses bras.*

Décidémment je ne vois pas ce qu'il faut faire!

*Il les regardait discrètement, jaloux. Ils s'entraidaient et restaient solidaires les uns des autres, et semblaient prendre un malin plaisir à l'éloigner, et à le rabaisser.

Pourtant il avait tenté de faire des efforts, mais rien n'y faisait. Il murmura :*

J'aurais pas dû apparaître... rester caché aurait été plus judicieux...

Tsss... stupides vivants tous les mêmes!

*Les mots de Rödschrek résonnent dans sa tête. Une autre personne avait fait la même remarque. Arfel qui n'avait pas encore atteint le groupe, se retourne rapidement, et d'un pas déterminer, se dirige vers l'elfe noir.

Elle le prend par le bras et le retourne, sa respiration est rapide, elle est très énervée. Elle ne dit rien, mais on peu voir qu'elle a une forte envie de lui décrocher la mâchoire. Elle sert très fort sont bras... puis tout en gardent son bras en main, se met à ramasser ce qu'il reste d'étoffes au sol. Elle le traîne littéralement, et le force à s'assoire prés de Jujoss.

Elle s'assit à coté de lui, et lui bande ses plaies... mais ne le fait pas avec douceur, elle se défoule un peu sur lui. Elevân ne sait pas quoi dire, il la laisse faire.
Par pensé, Arfel dit à cet ancien roi.*

#Tu parles des vivants ?! mais tu es quoi toi ?!!!… tu me rappelle ta chimère à parler ainsi !!!#

*Jujoss fut surprise par la tournure des événements. Lorsqu'Arfel parla a Rödschrek en pensée, Jujoss se rendit compte qu'elle savait entendre. Ainsi donc son pouvoir de télépathie marchait aussi sur les etres humains, elfes et autres... Elle en fut toute étonnée mais ne dit rien. Elle ne voulait pas entrer dans la conversation et se faire remarquer*

*Rödschrek tenta vainement de tirer à contre sens quand Arfel le traina, mais il était décidément trop faible.

Il serra les dents lorsqu'elle lui banda les bras, incapable de comprende ce qu'elle voulait.

Lorsqu'il l'entendit mentalement lui demander ce qu'il était il la regarda droit dans les yeux.*

Je...

*Mais le rappel de la chimère le mit en colère.*

JE NE SUIS PAS MAïTAGA!
Maïtgaga est un enfant! nous ne sommes pas pareil!
et... tsss... je suis peut être un vivant, mais je ne dois mes rares instants de paix qu'à des morts, alors ne critique pas ce que tu ne connais pas!!!

*Elle se stop, ne fini pas ce qu'elle était en trin de faire, et le fixe dans les yeux... ces yeux si étranges, comme des soleils cernés par la nuit de sa peau bleuâtre.
Elle semble vouloir dire quelque chose, mais n’y arrive pas. Contrarié, elle le lâche et se détourne.
Elle se contient un moment, et se mord la lèvre. Se qu’elle voulait, s’était l’intégré un peu chez les « vivants », et lui faire changer d’avis… lui donner une chance de voir autre chose. Mais il est décidément plus têtu et borné qu’elle. Elle fixe le sol, les bras croisé comme si elle avait froid : elle a perdu encore une fois.

Elevân le regarde durement, il croit comprendre le petit manège d’Arfel… Tout de même, Rödschrek ne peu pas savoir à quelle point il lui fait mal :
Arfel ne voit que par la vie, qu’elle a appris à donner aux plantes… et Rödschrek, lui, ne voit que par la mort.

Elle se sent obligée de l’aider coûte que coûte… elle ne saurait dire pourquoi… elle n’est tout simplement pas habituée par ce sentiment… et se bloque complètement.*

*Elevân passe sa main dans la nuque d'Arfel pour détendre un peu sa pression, et la rassurer. Et s'exclame sérieusement.*

Fura, comme tu nous a fait venir ici, tu peux nous faire repartir, Jujoss, Arfel et moi.

*Il se penche pour envoyer un regard dure à l'elfe noir.*

Je ne sais pas pour vous Rödschrek ! sans votre corps a proximité... je ne vois pas comment !!!

*Puis regarde sa petite fille*

Mais avent tout... ce qu'il faut que tu sache, Arfel, c'est comment rejoindre le pays source de tes pouvoirs perdu... Tir-Nan-Og, le pays d'origine des elfes !!! Car c’est à cause de tes pouvoirs perdu que tu es ainsi…
Fura pourra te réveiller un moment, mais tu retombera inéluctablement dans le coma si tu ne rejoint pas Tir-Nan-Og au bout d'une heure !
Ce pays... tout dépend des traductions… mais d'autres l'appellerons du nom d'Ekoï… Avalon : le pays de la jeunesse éternelle.

Mais, peu de personnes savent comment le rejoindre...

*Il est perdu à sont tour*

*jujoss avait déja entendu parler de ce monde. DAns son pays d'origine ils l'appelaient tous Ekoï... *

*Lorsqu'Arfel se détourne il rebaisse les yeux, voyant en son geste, une nouvelle manière de hair sa réalité.

Il avait fait l'effort d'essayer de lui expliquer mais c'était décidément trop dur.

Il inspecta ses bandages, non pour analyser le travail d'Arfel mais plus par curiosité. Personne n'a jamais eu ce genre de geste pour lui.*

*Lorsqu'Elêvan lui parla Rödschrek se crispa de nouveau; il se releva puis tenta de répondre le plus calmement possible.*

Je vais rester ici et me seller afin dene pas gêner Arfel, le temps derécupérer. Ensuite je sortirais, et j'essaierais de trouver... trouver un endroit où aller...

Et si je me perds, j'aurais une bonne raison de mourrir; mon calvaire sera fini, tous m'oublieront, et vous aurez une créature noire de moins sur les bras.

Fura, remmène les. Tu contiens ta Bête depuis trop longtemps à mon égard... Il vzut mieux que vous partiez avant que tu ne perde l'esprit.

*Fura acquieça.*

Rapprochez vous de moi, nous partons...

Bien ! vous êtes tous prés ?!

*Il prend la main de Jujoss, essaye de prendre celle d'Arfel, mais elle lui échappe. D'un ton blindé, à la limite de l'énervement.*

Arfel !!!

*La jeune fille s'est dérobé et s’avance timidement vers l'elfe noir.*

*Elle se met en face de Rödschrek, mais ne le regarde pas. Elle veux lui faire ses "adieux", et a beaucoup de mal à exprimer ce qu'elle veux dire. Elle reste hésitante, sous le regard d'Elevân qui la presse de venir.
Elle ouvre enfin la bouche, les yeux rivé au sol.*

C'est... c'est bien... tu ne m'appelle plus bouffon... tu as fais des efforts...

*Elle ne supporte pas de se trouver devant lui aussi ignarde, à cause de ne pas quoi savoir dire. Elle voudrait d'avantage parler avec lui, mais ne s'en sent pas la force.
Pour finir, après ces quelques paroles, elle lui ressert au bras, un pansement qui tombe. D'un ton plat et lasse.*

J’t’oublierais pas... je......... Adieux !

*Rapidement elle se retourne pour ne plus voir ses pieds.*

*L'elfe noir l'observe et change de regard, son regard s'est adouci, il commence à comprendre les réactions d'Arfel, trop tard.

Un léger sourire apparaît. Il est triste et nostalgique mais peut être pour la première fois dépourvu d'ironie. Alors qu'elle part et que Fura commence à incanter pour les rammener, Rödshcrek se met à incanter lui même un sort qui va temporairement sceller son âme.

Puis il envoie un message mental à Arfel.*

Je n'appelle bouffon que ceux qui le sont. Maintenant tu es simplement Arfel, quelqu'un que je n'arrive pas à comprendre...

*Des matières organiques surgissent du sol,soulèvent légèrement l'elfe noir et semblent l'entourer. En y regardant de plus près, on peut voir qu'elle changent de forment, se durcissent sans lui faire le moindre mal et prennent la forme d'un arbre géant, au sein duquel l'âme de l'elfe noir vient de s'endormir.

L'arbre est noir et visiblement malade, mais il tient droit, et fier.*

*Avant qu'Arfel ne change de nouveau d'avis, Fura les entoure de ses ailes translucides pour le moment. Elle incante doucement des paroles étranges pendant qu'un arbre se forme autour de Rödschrek afin d'endormir son âme etde le protéger temporairement.

Tous le groupe se sent fatigué. Tous ferment les yeux. Lorsqu'ils se réveillent, ils sont revenus dans la réalité.

Autour d'Arfel.*

*Arfel a du mal à ouvrir les yeux, ça fessait presque un mois qu'elle les avait gardé fermé. Elle se les frottes vivement, les bras engourdi pour les mêmes raisons. D'une petite voix cassé, pour ceux qui l'entour.*

Merci... merci a vous...

*Son teint est redevenu normale. Arfel s'assoit et les regardes un sourire admiratif pour chacun... mais elle n'a que peu de temps avant de retomber dans son sommeil de plomb.*

*Tout contant, Elevân sert Jujoss avec une familiarité certaine, qui ne mettrais pas en avant si elle n'était pas devenu quelqu’un de très proche. Arfel bascule un peu sa tête sur le coté et fronce les sourcils, un sourire interrogateur aux lèvres.
Elevân ne dit rien et laisse à Jujoss le soin de lui expliquer leur nouvelle situation.*