* Va rencontrer Nécrom*

Non, effectivement. Continuons. Vous les avez tués, la jeune fille est sauve. Vous la rendez à ses parents, ils sont heureux, vous remercient de tout coeur...

Seulement voilà : les bandits aussi ont une famille, et cette famille, consciente de la "profession" de leurs hommes, n'en tirent pourtant pas moins de la colère et du désespoir... Pourtant, ces familles sont on ne peut plus honnêtes, malgré les hommes devenus bandits. Pourquoi n'auraient-elles pas droit au bonheur de revoir leurs proches? Voilà ce qu'elle pense, la famille.

Le Bien engendre le Mal, c'est une réalité. Car nous avons tous des proches, plus ou moins bons. Leur souffrance engendre la notre, et notre souffrance engendre la colère, la haine... Et la haine aboutit à la guerre...

Mais moi je n'ai pas décimé un peuple entier sans raison. Du moins sans raison valable.
Vos arguments ne visent qu'a me perdre dans mon argumentation pourtant vous devez le savoir ... ett venir me dire a moi que les morts que j'ai fait pour arriver au bout de mes missions ... je trouve ça drolement gonflé de votre part avec tout les morts que vous avez sur les bras

hj c'est l'hopital qui se fout de la vharité.

mais très chère, c'est vous qui perdez vos moyens, pas moi. Je ne fais que vous compter l'histoire qui m'a fait venir à faire la guerre contre vos peuples, et à aspirer à un monde de silence et de tranquilité. Seule la mort apporte celà...

Nous ne sommes que les porteurs de la vengeance, tout comme vous vous vengerez de nous pour ce que nous vous avons fait. La seconde loi de ce monde, ma Dame, le Mal...

Le Bien engendre le Mal...
Et le Mal détruit les deux...

Voilà ma vision des choses, et nous la partageons tous...

A présent, bien sûr, je suis prêt à entendre les raisons pour lesquelles nous ne devrions pas continuer, je vous écoute...

Pour la raison que vous invoquiez tout a l'heure, ne pensez vous pas que chaque membre de cette terre veuille revoir ses proches. Vos arguments sont d'une cruauté extraordinaire.

* La jeune fille fit quelques pas pour se détendre les jambes.*

Je ne puis pas croire qu'un être qui a un tant soit peu d'humanité en lui puisse dire des choses pareilles.

Je n'ai jamais prétendu prendre ces gens en pitié. Ce sont eux qui sont la cause de mon malheur, pourquoi aurais-je la moindre pitié pour eux. Il ne mérite que ma vengeance...

Vrai, j'ai tué de nombreuses fois, parfois sur un simple emportement, mais je ne pense pas être moins humain qu'un autre. L'humanité n'est en fait un instinct qui pousse à tuer sous prétexte de protéger ce que l'on aime, rien d'autre. Ell engendre la souffrance, et la souffrance engendre le Mal.

Alors, pour ne plus souffrir, nous allons tout détruire, avant de nous détruire nous même, et ce monde redeviendra le havre de paix qu'il était avant que des créatures intelligentes apparaissent. Voilà la réalité d'aujourd'hui.

* Avelis ouvrit grand les yeux et eut un rire nerveux*

C'est ridicule, vous êtes un fanatique en mal d'amour.

En mal d'amour? Mais de quel amour? De celui qui pousse sans cesse au meurtre? Je n'en ai pas besoin. Aujourd'hui, il ne me reste que la haine et la vengeance.

Je crains que cette conversation ne nous mène à rien, mais au moins elle fut fructueuse :
il est clair que nul d'entre vous n'es capable de percevoir la portée de leurs actes, et peu importe en fait : nous apportons tous notre part de mal à chaque pas que nous faisons. Certains font juste plus de pas que d'autres...

*Il sourit, mais son sourire avait quelque chose de diabolique*

Je pense qu'il est temps pour vous de rejoindre les votres, ma Dame, ceux que vous voudrez protéger... Et que je me ferai un plaisir de massacrer, afin que vous voyiez à quel point la vengeance et la haine peuvent-être fortes quand on perd ce qui nous est cher...

* Avelis tourna les talons et se retourna au dernier moment.*

Sachez qu'a cause de vus j'ai perdu la dernière chose qui m'était chère alors je sais ce que ca fait ^'être privé de tut

* Cette fois elle tourna les talons.*

*Le jeune homme semble entrer en transe, puis redevient normal. Un sourire cruel s'affiche sur son visage, et ses yeux reflètent une haine énorme*

Navré très chère, mais je crains que vous ne puissiez quitter ces lieux...

* Avelis se tourna vers l'homme et le dévisageat*

Je vous demande pardon ?

# Oh le mauvais plan #

* La jeune fille mit la main a son épée.*

*Il eut un petit ricannement*

J'ai désobéi, j'en ai dit plus que je n'aurais du, dommage. L'ordre vient de ma Maîtresse elle-même. Vous ne pourrez pas quitter ces lieux en vie...

* Avelis sortit son épée *

J'aimeraiis beaucoup voir ca, venez donc.

Malheureusement, vu votre état, vous ne pourrez pas me battre, moi qui suis baigné de l'aura de ces lieux. Ailleurs et en d'autres circonstances, il aurait pu en être autrement.

*Le jeune homme tend sa main vers avelis*

brûlez

*Soudain une énorme gerbe de flamme jaillit de sa main et atteint avelis*

* Avelis eut un air affolé lorsque a boule de feu l'atteignit en plein torse. Elle vola sur quelques mètres avant de s'étaler au sol. Son armure était incandescante et lui brulait horriblement la peau. Elle saisit son arc et visa la tête du jeune homme. La fleche partit droit.*

*La flèche n'ateignit jamais sa cible : elle fut brûlée entièrement en un rien de temps. Le jeune homme était à présent entouré de flammes, et son regard était empli de haine*

J'ai oublié de me présenter...

*il fit une courbette*

Je suis Strom, un disciple du feu.

*se redresse*

et vous...

*s'approche*

vous allez brûler en enfer!

*Les flammes autour de lui se déchaînent soudain, fondant tel un flot vers avelis*

* Avelis essaya de rassembler ses esprits. Elle fit un bond leste sur le côté. En sécurité pour un certain moment, elle posa deux doigts sur son armure qui reprit sa couleur habituelle. *

Et moi je suis Avelis et comme tout elfe je matrise les éléments.

* La jeune fille s'entoura d'une protection sommaire assez illusoire pour bluffer son adversaire.*

*Malheureusement pour avelis, les flammes n'étaient qu'un leure, et elle ne sentit que trop tard le souffle chaud de l'homme qui se trouvait derrière elle. Un lame s'enfonça dans son corps, puis lui taillada tout le dos. De douleur, elle s'effondra au sol, pendant que l'homme s'acharnait sur elle en riant. Puis soudain, il s'arrêta. Elle était à bout de forces, au bord de la mort, lorsqu'il lui dit :*

Je vais te laisser en vie cette fois-ci. Je vais même te téléporter dans votre petit camp. Ainsi, tu pourras voir la terreur que je vais semer, la souffrance que je vais amener. Et toi... Je t'affronterai moi même, lorsque tu auras retrouvé ta force habituelle.

Tâche de rester en vie d'ici là...

*Avelis se sent alors comme transportée, et sombre dans l'inconscience...*

hj : et hop! rdv au camp des réfugiés!