* Va rencontrer Nécrom*

* Avelis, en tant que diplomate et artisane de la paix, était allé a la rencontre de Nécrom pleine de résolution. Maintenant, elle regrettait. Debout a la porte, elle hésitait a frapper. Cet enfrois l'imppressionnait et lui laissait une impression de malaise au creux du ventre. Un vague sentiment de panique a saisit au souvenir des morts vivants. Un long frisson lui courut le long de l'échine et elle retint une fois encore la main qui allait frapper a la porte.
La jeune elfe porta par reflexe la main a son épée. Habituellement, elle ne portait ni armure si arme lorsqu'elle allait voir les chefs dans sa mission diplomatique mais cette fois, elle avait eu un doute quand a la loyalité du seigneur noir et avait finalement revétu son armure au sceau de la guilde. Elle portait une épée, un arc et un poignard accroché derrière la cuisse.
Cette fois, repoussant son sentiment de malaise et un haut le coeur venant de l'odeur qui regnait, elle frappa a la porte qui s'entrebailla seule. Se glissant entre les battants, elle entra dans la cour. La, elle dut a nouveau retenir un haut le coeur, des os jonchaient la cour et des pierres tombales cassées ou non étaient entreposées dans un coin mais l'odeur était pire encore. Respirant tant qu'elle le pouvait et bleme comme la mort, elle gravit les marches qui la menaient au centre de la cour puis elle obliqua vers le donjon cherchant a calmer les battements fous de son coeur embalé. Lorsqu'elle arriva dans la salle du trone, c'est une surprise qui lattendait. C'était décoré avec gout, l'odeur des morts avait disparu et des tentures pourpres et noires tombaient des murs. Elle s'avanceat lentement.*

Seigneur Necrom ?

*le trône se tourne, et un jeune homme est dessus. Il est habillé d'un costume de soirée très riche, et porte une petite marque enforme de flamme sur son cou*

Êtes-vous Dame Avelis, maîtresse de la Guilde?

* Avelis resta médusée*

Que faites vous ici ? Qui êtes vous ? Ou est Néscronm ?

Le Grand Maître n'est pas là pour le moment, et il ne souhaite pas vous voir. Il en a informé ma Maîtresse qui m'a alors donné la tâche de vous accueillir comme il se doit.

Je me suis permis de refaire un peu la décoration, afin que vous soyez plus à votre aise. Lorsque l'on n'est pas habitué, on a tendance à faire n'importe quoi, emporté par la peur...

* Avelis lanceat un regard hostile au jeune homme*

Si vous comptez m'impressionner il va falloir faire mieux que ca! Je souhaites voir néscronm.

hj tyu va bien être obligé de venir si tu doit me massacrer

hj : ah il faut que je te massacre? mais celui là peut très bien le faire, fatiguée comme tu es. Cependant, il a un certain sens de l'honneur, vois-tu, et tu es venue en paix ^^

ej:
Je ne compte nullement vous impressionner, gente Dame, je n'ai point la prestance pour celà. Je cherche juste à vous mettre à l'aise pour discuter. Vous êtes bien venue parlementer, non?

Oui mais je ne parlemente pas avec des sous dirigeants je parlemente avec les personnes qui sont en mesure de le faire et sans vouloir vous vexer, c'est a votre seigneur que je veux parler

Navré ma Dame, mais je suis le seul délégué à ma Maîtresse. Me parler revient à lui parler, et lui parler revient à parler au Grand Maître...

* Resopire un bon coup pour garder son calme*

Un chef recoit les diplomates en personne il ne délègue pas ... qui est donc votre maitre pour ignorer cela ?

Je vous trouve très aggressive, gente Dame, et il est de règle dans de nombreux pays d'envoyer un ambassadeur afin de ne pas risquer la vie des chefs. C'est vous-même qui avez décidé que les chefs se présentent.

Mais nous sommes prudents. Nous ne nous révélons pas si facilement.

Quant au Grand Maître, étant donné votre arrogance, je doute qu'il vous ayez aimé être en sa compagnie. Moi-même je ne suis pas à l'aise à ses côtés, alors vous...

Oubliez donc cela mais dites moi donc ... que cherche nescronm ? Pourquoi détruire un monde ?

Pourquoi le construire?

Pour sauver des vies permettre a ses gens de vivre en paix. cet endrois était un endrois de paradis avant votre arrivée alors je repose ma question, pourquoi le détruire.

Ma très chère Dame, pour une simple question d'équilibre : la destruction n'est finalement que le début d'une nouvelle construction, une nouvelle ère.

Voyez vos peuples, sans cesse entrain de faire et de défaire des alliances, de se faire la guerre, puis finalement de reconstruire pour mieux détruire. Nous ne sommes pas une exception à la règle. Nous cherchons juste notre monde idéal aussi.

Et quel est votre idéal ? Un monde de ruine peuplé de morts qui ne ressentent plus aucun sentiment aucune émotion ? Né ... votre assassin de maitre s'en lassera vite.

Je ne pense pas que les morts-ambulants sont une population à prprement parler. Mais eux, ils ne se disputent pas, ils ne se lamentent pas, et ils ne passent pas leur temps à guerroyer. C'est une réalité, le seul moyen que les êtres vivants cessent celà est de les priver de leur âme...

Mais dans ce cas se sont des coquilles vides sans volonté propre, ils ne pourraont mourir jamais votre royaume ne sera prospere ...

* Avelis perdait son calme*

Pourquoi la guilde ? Nous sommes pascifistes

A quoi bon un royame prospère, s'il n'est que silence?...

Et votre pacifisme n'est qu'un masque, ma Dame, une façade derrière laquelle on se cache pour commettre l'inavouable... Avez-vous déjà tué, ma Dame?

* Avelis hocha les épaules*

Bien sur que j'ai déja tué, pour sauver ma vie entre autre. Ne dites pas que vous non, vous seriez ridicule

Je n'ai jamais prétendu celà, ma Dame, j'ai sûrement tué bien plus que vous. Mais sans le savoir, ma Dame, vous nourissez le mal ainsi.

Je suis artisane de la paix mais il faut bien se proteger ce sont les instincts de survie. Je ne vous l'apprends pas je pense.

La paix? Madame, en artisane de la paix, vous provoquez la guerre.

Prenez un exemple :
Vous êtes attaqués par une bande de bandits. Ils détiennent une enfant en otage. Vous avez l'occasion de tous les tuer pour sauver la fille. Que faites-vous?

Je négocie ... c'est mon travail au cas ou vous auriez encore un probleme de compréhension.

Admettons... Les négociations se passent mal, ils s'aprêtent à exécuter la fille. Que faites-vous?

Je ne e suis jamais retrouvée dans cette situation mais je suppose oui que je les massacre... Vous n'avez pas d'enfant vous !