ses pieds se trainent

avec sa capuche sur la tête, elle était sure que personne pourrait la reconnaitre.
Elle avait pris une décision, apparement elle n'était plus capable de gouverner elle n'avait pas sut etre là pour son peuple au moment ou il fallait, elle aurait dut rester général des armées garder sa liberté et le moyen de combarttre normalement.
Elle ne savait pas encore faire pour le moment elle avait du mal a se mettre en tête a se comfronter aux autres.

* Avelis chevauchait les cheveux au vent, les terres reprennaient vie apres cette terrible guerre certains disparus réapparaissaient et les peuples farouches reliaient doucement des contacts, certains s'étaient tirés du trou eux même, les volontaires reconstruisaient la guilde et Aron était revenu tout allait pour le mieux dans le meilleur des monde. Elle avait harnaché un cheval et filaient a toute allure sur la route, presque innattentive a la démarche de son cheval. Soudain l'animal se cabra quand au detour d'un chemin il croisa une silhouette encapuchonnée. Avelis se cramponna aux renes et au pommeau de selle et parvint a rester assise. Elle sauta au bas du cheval et tendit la main a la personne tombée*

Je suis navrée je ne vous avais pas vu

elle se releva en daidaignant prendre la main d'Avelis elle l'avait reconnut mais elle apparement pas elle ne voulais pas avoir un contact qui dirait a cette elfe qui elle était vraiment.
Elle lui fit un signe de main qui signfiait que ce n'était pas grave et carressa le cheval de cete cavaliière elfe qui se calma aussitôt.
Elle reprit son chemin en se courbant quelque peu de peur deveiller quelque soupçons.

Avelis voulut la retenir mais sa main glissa sur la cape et devoila le visage ... de la reine des elfes, anciennement sa meilleure amie qui paraissait maintenant si mal en point. Avelis resta silencieuse et elle la regarda sans comprendre ce qu'il se passait, enfin elle lacha ...

Pourquoi te cacher tu ? Pourquoi a moi ? Ne suis je pas ton amie ? C'est ce que je pensais

elle se retourna vers elle en levant les yeux au ciel.

-comment veux tu que je disparaisse si je suis encore dans tes pensées et visible?

elle laregarda d'un regard si perçant qu'elle se rendit compte qu'elle pourrait faire mal à Avelis et baissa les yeux.

-J'ai tout perdu dans cette guerre. Je ne vais pas tarder à repartir vers l'autre monde comme il y a quelques années

Avelis ne détourna pas les yeux, quelque grande soit la violence dans ceux de Nenia. Elle la regarda transcendante et l'affrontant du vert calme et paisible des siens. Disparaitre ? Pourquoi disparaitre ?

- Edrian est encore ton mari même si il ne va pas bien il existe encore et tu n'as pas tout perdu, pourquoi vouloir partir alors que ces terres reprennent vies, que des enfants naissent de partout comme une multitude de fleurs ? La guerre est finie, tout le monde revient et toi ? Tu pars, tu t'enfuis loin de nous en ignorant la solide amitié que nous avions toi moi Jujoss et Albania ?

Elle soupira retenant le cheval par la bride

- tu dois rester, ton départ de servirait personne

elle la regarda à nouveau avec un feu ardent dans les yeux.
elle se sentait a vrai dire minanble mais que pouvait elle dire.

-Avelis je me fuis moi pas vous, tout ce qui ma concerné a échoué je n'étais jamais là.
je prefere resté errante quee de casser les espérances du peuple.

elle la regara toujours avec ce mêmeregard mais cette fois humide, elle qui était toujours maitre de ses sentiments ne les controlaient plus depuis peu.

-Je n'ai toujours pas retrouvée Edrian pour preuve

Avelis la regarda et sourit néanmoins, pas retrouvé edrian ?

Moi je sais ou il est je peux lui dire que tu es vivante, il n'a cessé de te chercher

Elle attacha le cheval a un arbre tout proche puis, apres avoir caressé la crinière de l'animal, elle revint vers Nenia. Elle la redressa et la serra dans ses bras

- Tu n'auras plus jamais a te soucier de rdiriger les elfes, Jujoss en a prit la tête tu peux aujourd'hui vivre paisiblement

Elle la regarda tristement, elle savait que beaucoup de monde voulait e trône ce qui était chose normal dailleurs avec ses erreurs elle avait de la chance d'etre encore en vie.

-Edrian est toujours roi il devra épouser Jujoss maintenant, dans les traditions cela est comme ça....Encore une chose que j'aurais perdu...

Elle sentit une larme roulé sur sa joue.

-Jai perdu mon étalon mon fiançée mes amis mon peuple je peux plus regardé mon reflet....
je ne pourrais vivre paisiblment Avelis
J'irai retournée en errante ou en rodeuse...

hj : je me permets d'intervenir en hrp après promis je m'en vais ^^ Edrian m'a dit qu'il ne voulait plus etre roi etc... Qu'il partait... et puis si je dois épouser Edrian je ne le ferais jamais ! Je ne te ferais ca pour rien au monde et maintenant je suis avec Elevan (enfin c'est en court ^^)

Edrian avait commencé par vouloir partir puis s'apercevant du fait qu'en partant si lachement il abbandonnait son épouse, il avait fait demi tout aux limites des terres pour revenir la chercher. Apres plusieurs jours de voyage on lui avait enfin indiqué une route qu'elle avait prit le matin même. En cheval il avait fait la moitié de la route et finissait a pied dans la foret bordant la route. il sifflotait lorsqu'il croisa deux voyageuses dissimulées, au debut il n'y prit pas garde jusqu'a ce que les paroles l'arrêtent. Il passa la main sur son visage incrédule et parla soudain decouvrant son visage :

- Comment peut tu croire que j'accepte d'épouser une autre personne pour ce trone ?

hrp:/tinquiete jujoss maintenant que tu es reine tu as tous les droits

rp:/
elle se redressa rapidement et regarda le nouveau venu au premier abord elle crut que c'était un voyageur quelquonc poussieureux puis quand il apparut non pas a contre jourmais dans la pénombre elle vit son visage et elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais elle ne savait pas quoi dire.

-Bha heu c'est a dire que

Ses bras retomberent le long de son corps et elle le regarda en silence un instant et les larmes coulerent le long de ses joues, elle fit tombé sa cape et ses gants, elle en avait marre de se cacher et de cacher ses blessures.