Muraille Est tenue par Rödschrek et Ajary

* Athila en voyant le corbeau de derrick arriver eut un sursaut de joie. Si le corbeau était vivant derrick l'était aussi ... a coup sur ... et presque certain l'animal était trop attaché a son maitre. Athila lui donna une rapide caresse, c'était un messager de bonne augure et elle se sentait mieux.

Soudain elle sentit que tout allait changer. maitaga n'avait pas eu le temps de laider que rod s'agitait. Athila eut un mauvais presssentiment. Il semblait comme possédé ... mon dieu sa malédiction. Elle recula de plusieurs pas ... proteger les autres essayer de conserver Rod surtout pas le laisser sombrer dans la demence sinon il faudrait l'abattre ... pas un allier, ils en avaient si peu. Elle leva les bras et cria a ses voleurs avec une hargne jamais connue chez une jeune demoiselle de 19 ans*

- EN ARRIERE ... EN ARRIERE

Comme les voleurs ne réagissaient pas elle en saisit un au col qu'elle gifla.

- VOUS AVEZ ENTENDU ???? DEGAGEZ

Les voleurs commençaient a faire machine arrière. Athila devait les suivres mais elle ne s'y resolvait pas ... elle ne pouvait pas laisser le nécrman prendre rod, il fallait le reveiller par tout les moyens possible quitte a risquer sa vie ... un peu. Elle réavança et chassa le corbeau de derrick de peur qu'il ne se blesse.

- Va prevenir ton maitre si tu le peux que rod est bizarre si tu peux amene la réponse si nous ne sommes pas morts ... vole et fais attention

Athila attrapa Rodschrek par les épaules et le fit basculer contre elle de telle sortes qu'il avait la nuque sur son épaule. Elle essaya le lui toucher le visage mais recula ses mains il était glacé. Et si elle se trompait ? Si il n'y avait aucun danger ? si Rod était tout simplement trop faible pour se servir convenablement de ses pouvoirs. Elle ne pouvait pas croire que ce grand homme a la peau sombre soit mauvais ... elle ne pouvait pas le laisser tomber et de plus Derrick et lui s connaissaient peut être étaient ils amis ? elle ne le laisserait pas tomber, plutôt mourir ( ce qu'elle craignait).*

- Mon seigneur qu'avez vous ?

*Le corbeau se renvola et disparu, comme après avoir acquiecé les dires d'Athila.*

*Maïtaga la chimère serra le petit objet contre son coeur en fermant les yeux. Celui-ci disparu dans sa poitrine.*

*Rödschrek quand à lui allait de moins en moins bien. Il se redressa, son corps en lambeau bien que cicatrisé semblait se tenir de boust grâce à d'étranges filets de vent commencer à l'entourer. Il se retourna et frappa violamment Athila avec une énergie qui ne semblait pas venir de lui. Il s'accroupi, et les yeux toujours blancs, le visage inexpressif, il déplia deux immenses ailes noires, et ramassa sa lance.*

ARCON!!!!

*L'étalon qui obéissait toujours à son maître piaffa nerveusement. Röschrek s'approcha donc de lui même et empala l'animal qui tomba en poussière.*

Plus d'attaches sur ce monde, maintenant mon travail peut commencer....

*Il s'envola, et bâtit l'air avec sa lance en produisant un grand arc de cercle. L'arme se déforma, sembla prendre la forme du mouvement, et devînt une gigantesque feau.*

* Athila vola au sol dans un nuage de poussière. Sur e dos elle entreprit de reculer. Rod avait ... tué son cheval ? Elle recula un peu. Son lieutenant vint la relever et la tirer en arrière. La jeune fille se débattait mais que pouvait elle blessée contre son puissant homme de main ? Elle se laissa faire et arrivée derrière les murs demanda un arc *

- Je dois ... si on dois le tuer pas de la main de nimporte qui ...

Elle ne pouvait pas s'empecher de pleurer

- Nous sommes perdus.

*l'odeur de la puanteur et des corpsputrides la repoussait d'une puissance inouïe mais elle ne voulait pas laisser en aucun cas ses forêts et son royaume à un monde de chaos*
*elle tremblait non pas de frayeur à présent mais d'écoeurement, elle voyait ses généraux tombés les uns apres les autres et e*étrangement elle crut se retrouvé seule à un moment.
Elle ne voyait plus les uniformes claires et chatoyantes des armées alliées mais que des corps noirs ou était-il???*
*son regard roulait en tout sens en essayant de retrouvé des persnnes de quuelques armées alliées mais en vain elle évitait et parait tous les coups qu'elle pouvait mais une blessure à l'épaule la privait de toute sa puissance*
*elle savait que quelque part non loin de là Rödscreck était entrain de subir la pire des attaques.... mais elle était là et ne pouvait pour lemoment pas se dégagez pour essayer d'aller lui apporter quelque aide ou réconfort elle aurait voumlut pourtant*
*elle entendit lointainement Edrian dans ses pensées ce chant magiques qu'elle avait l'abihude maintenant d'entendre se faisait comme plus floue elle lui repondit.....*
Edrian

*Rödschrek fit apparaître deux pierres dans sa main. Aussitôt, toutes les armées de morts vivants, ecxeptées celles qui il y a quelques minutes encore avaient été crées par lui, arrêtèrent de combattre. Les Chimères se mirent à rire, d'un rire glauque qui traduisaient leur victoire. Elles avaient gagné, l'enfant qu'elles avaient elles-même élevé était enfin *revenu à eux.

Puis plusieurs ordres furent transmis. Il n'était plus question de tuer simplement les vivants. Les armées de morts encerclèrent tout ce qui avait de la vie et les forcèrent à rejoindre la muraille,à rejoindre le Faucheur, La Mort. Tous devaient périre de la même manière et les rejoindre.*

Une tornade entoura Rödschrek, le protégeant des flèches, les runes parcoururent son corps, il décida de remettre son bouclier, celui qui lui permettait de passer à travers tout ce qui était physique. Maintenant il était intouchable, il n'avait plus qu'à accomplir ce pourquoi il avait été élevé.*

*Maïtaga quand à lui fonça vers Athila. Lui aussi était en pleurs.*

Pas perdu, j'ai mes souvenirs, je sais comment l'occuper...le tuez pas je vous en supplies! Je...je vais l'occuper, et vous....ah...je sais pas, trouvez quelque chose!

hj: pitit résumé de la situation pour tout le monde:

Nénia/Edrian: qui étaient en train de se battre contre morts et chimères, tout s'arrête, y'a pu de combats, mais on vous pousse à rejoindre la muraille (dsl c parce que c trop dur à suivre les 2 groupes ds le même topic...trouvez pas?)

Athila/Ajary:sonnées, savent pas trop quoi faire, ce sont éloignées à temps de rody

Rod:en pétage de câble complet, son corps est en lambeau, ttes ses blessures sont refermées magiquement, il a de grandes ailes noires ds le dos, le visage complètement inexpressif, les yeux blancs, il est pr le moment intouchable, et entouré d'une tornade.

Maîtaga la chimère: essaie de convaincre athila de ne pas tuer son maître, pleure,dit avoir retrouvé ses suvenirs

Les armées sont immobiles.

*Athila avait bandé son arc et le pointait vers rod ... il fallait le tuer c'était ça ou ... Maitaga en arrivant lui propulsa sans doute sans le faire exprés une pierre en plein ventre en le suppliant de pas le tuer. Elle acciessa doucement de la tête et vit Edrian et Nenia filer vers eux avec leur armée. Elle regarda Maitaga.*

Alors débrouille toi mais calme le. Des qu'ilsera calme nous l'attacherons loin du camp et nous lui banderons les yeux et la bouche. Rends toi compte dans cet état Rodschrekest dangereux.

*Soudain, toutes les créatures s'arrêtèrent. Monstres, chimères, morts-vivants, plus rien ne bougeait. L eciel s'assombrit, recouvert dépais nuages noirs, emplis d'un orage menaçant. Bientôt, les éclairs frappèrent le sol, et nombre de morts-vivants disparurent.

Lorsqu'il n'en resta plus, le sol se mit à trembler, et dénormes statues sortirent du sol, des statues de créatures effrayantes, menaçantes... des démons...

Une lumière survint, illuminant soudain les champs de bataille. De grands rayons partaient de la forteresse*

*L'enfant qui avait combattu rödschrek réapparut, en l'air, et le regarda*

Et voilà. Je dois accomplir mon rôle de maître de l'air, Faucheur. La suite est pour toi. Quant à vous, mortels, vous subirez bientôt la puissance de mon maître. Ma puissance sera sienne, rien ne l'arrêtera!

*Il fut frappé de plpein fouet par un rayon. Son corps commença à se désagréger. Avant de disparaître, l'on vit encore de lui son sourire cruel, insoutenable sur le visage d'une enfant... Puis il disparut, et le rayon avec lui.*

*L'instant d'après, l'on entendit nom pas un chant, mais un hurlement, semblant un mélange entre la douleur et le râle, le tout amplifié, recouvrant toute la plaine, et engendrant la terreur à tous ceux qui l'entendaient. Les statues tremblèrent, se fissurèrent, et très vite tous furent face à un nouvel ennemi : une armée de Démons tous droits sortis des enfers...*

*Cependant, les Démons gardaient une grande distance entre eux et Rödschrek, sans que l'on sache pourquoi...*

hj: WOW on s'détend là!!!! Oo

*Rödschrek resta de marbre face à toutes ces interventions magiques. Son regard se porta vers les démons, qui formèrent un cercle autour de tous les rescapés. A genoux, tous le fixaient, attendant patiemment le bon vouloir du maître de ces lieux.*

*Maîtaga prit la forme d'un enfant aux traits très semblables, trop semblables à ceux de son roi. L'elfe noir le laissa s'approcher sans bouger. Le vent qui l'entourait disparut complètement.*
Quel beau pouvoir du vent mon roi, mais ce n'est pas toi qui fait ça^^
où es tu mon roi?

*Le visage de l'elfe noir se crispa. Il se posa, et recula de quelques pas.*
Qu'est ce qu'il y a? Tu as peur de ce que tu étais autrefois?
Je suis Maîtaga,mon esprit et mon âme sont ta propre âme, ta partie refoulé^^ mon nom, est le nom de ton frère. Et toi mon roi, quel souvenirs as tu du vrai Mâïtaga qui t'as tout appris?

*Maintenant effrayé, Rödschrek était incapable de tirer son regard des yeux de son étrange chimère. Un instant, ses yeux blancs, reprirent leur couleur dorée.*
Rappelles toi mon roi. Faucheur, ce nom, ce sont les morts qui te l'ont donné. ça ne veut pas dire mort, mais vie pour eux...Combien en as tu libéré là bas, dans ta Terre natale?

* sans crier gare, ajary qui s'était retrouvée totalement soufflée par les évènements se ressaisit et, se rappelant les paroles de son frère s'empara du dard que celui ci lui avait confié et bondit plus vive que jamais sur rodschrek. Elle planta le dard sur le coté blessé du roi. *

*Rödschrek n'ayant absolument pas senti l'attaque venir se hurla puis se tourna vers Ajary. Il n'y avait ni rage, ni haine, juste de la douleur. la lame bleue s'aviva en réponse à la magie du nécroman. Rödschrek tomba à genoux, et tenta de se relever veinement.Il arracha le dard de sa blessure, puis perdit cette fois définitivement conscience, son corps meurtri n'était plus apte à supporter toutes ces agressions, même poussé magiquement. En face de lui, Maîtaga ne bougeât pas, et remercia silencieusement ajary.*

* Ajary regarda le roi elfe noir s'effondrer sans rien dire. Puis, elle se laissa tomber à genoux à ses cotés et une larme silencieuse perla le long de sa joue. Elle venait sans aucun doute de mettre un homme à mort et se sentie terriblement mal. *

*Maîtaga sembla se tordre de douleurs. Maintenant sous l'apparence d'un enfant, il porta une main à ses yeux et se mit à pleurer. Sa tristesse était réelle, on aurait dit qu'il lançait toutes les larmes que son maître n'avait pas laissé couler durant toutes ses années d'existence.*

*Mais les démons qui étaient restés en retrait sous l'ordre du nécromancien ne restèrent pas passifs. Ils se relevèrent et s'avancèrent, prêts à massacrer les survivants des murailles.*

* Athila était restée muette de stupeur lorsque Rod s'était effondré. Elle avait sentit une larme couler sur sa joue et n'essaya même pas de retenir celles qui suivaient. Finalement ils avaient echoué, Rod était mort et personne n'avait pu le sauver. Soudain les monstres se relevèrent. Athial courut aux côté de sa reine. *

- Ajary, cours, si ils t'attrapent c'est la fin

Voyant qu'elle ne voulait pas partir Athila la prit par les épaules tirant de plus belle

- Il est mort, on ne peux rien pour lui viens

Nan!

*Maïtaga hurla et commença à se transphormer. La chimère n'avait plus rien à voir avec le doux centaure d'autrefois.*

S'il était mort, je n'existerais plus. Je suis encore là, il y a donc un espoir!

*La chimère fit apparaître de nouveau ses deux ailes de métal. Son visage enfentin se gonfla, s'allongea, s'arma de crocs reptiliens. Ses yeux noirs passèrent au doré. En face, une chimère portait une immense lame noire. Maïtaga la vit, et la copia. Dans sa main apparu la même arme. Doucement le monstre se rapprocha de son maître, et le mit sur le dos. Pendant un instant, de timides grognements s'échapèrent de son hideuse gueule. On aurait dit qu'il lui parlait. Comme s'il tentait de le rassurer. Il le prit dans ses bras, s'approcha d'Athila, lui lança un regard supliant, quelque chose qui voulait dire aides le, il est vivant. Il le posa à ses pieds, puis regarda les démons.*

Il n'est pas mort, et je ne dois pas mourrir, mais je dois aussi protéger les vivants. Vous ne recevrez aucun coup tant que je serais là.

* Athila regarda le corps inerte de Rod, il fallait l'emmener en securité dans les remparts ? Mais il était dangereux. Elle essaya néanmoins de le porter mais il était trop lourd et plusieurs brigands s'en chargerent.*

Protegez le et essayez de me trouver un medecin pour lui. A

*Athila sortit son épée, bon elle n'avait pas le choix il fallait vraiment se battre et en tuer un maximum.*

*Maïtaga observa un instant les ignobles crééatures qui les encerclaient s'approcher. Puis faisant appel à sa puissance de chimère ainsi qu'à la science de son maître, Maîtaga durcit son corps et lança des sorts aux rescapés. Les runes crépitèrent, des sceaux de nécromancie apparurent.*

Que les runes protègent les vivants, devenez tous aussi impalpables que le vent, que ce sort envié par Nescromn, crée par mon maître, soit notre salut à tous.

Tirez, tapez fracassez, vivants, vous êtes intouchables.

*Puis Maîtaga la chimère leva son énorme arme noire au-dessus de sa tête crocodilienne. Se redressa de toute sa hauteur, ses ailes de métal dépliées, la créature hurla, encouragea les vivants.*

#Finalement, peut être suis je aussi vivant que vous tous.#

*Les hordes de démons, face à ce revirement, et face à cette magie tant enviée par leur maître, perdirent leur assurance... ce fut leur erreur...*

* Athila suivant au doigt et a l'oeil les mouvements de maitaga monta a cheval et lança tout les brigands dans la bataille. Chez les monstres c'était la débandade. Les archers sur les murailles tiraient flèche sur flèche pourfendant sans pitié. Edrian lança egalement les cavaliers elfiques qu'il commandait. *

( flemme de me connecter sous edrian ^^)

*Parmi les démons, la panique était de mise. Mais cela ne venait pas des flèches, oh que non : à la forteresse, quelque chose venait de s'éteindre, la chose qui les retenait ici. Il s'estompèrent doucement, avant de disparaitre, ne laissant derrière eux qu'un silence de mort*

*Puis, au bout de quelques instants, le ciel s'éclaircit doucement, et une clameur s'éleva : des cris, non pas de peur ou de rage, mais de victoire. Ils avaient gagné, Nescronm n'était plus, et ses armées étaient anéanties. Le cauchemar était fini...*

*Maîtaga avait combattu quelques minutes férocement auprès des divers peuples qui le cotoyait. Puis les démons disparus, il sut que tout était terminé. Il reprit sa forme initiale, celle d'un centaure et regarda tout autour de lui, comme s'il était perdu.

Alors que l'ambiance était à la liesse, et au soulagement, Maîtaga errait tristement au milieu des vivants. Durant un instant, il s'était senti vivant. Maintenant, il se voyait tel qu'il était. Un cadavre errant.

Il passa au travers de la foule discrètement, puis reparti dans les remparts, chercher son maître.Il faudrait très vite l'emmener vers une vraie infirmerie, ou au moins trouver un médecin compétent.*

* Athila vit le ciel s'éclaircir, elle n'arrivait pas a y croire d'être encore vivante. Malgré la liesse de ses hommes elle ne pouvait se resoudre a les imiter et voyant Maitaga errer a son grès elle le laissa seul. Sans doute en avait il vraiment besoin. Elle tourna les yeux vers ses roupes consederablement affaiblis. Deja de toute part, on se précipitait pour se sourtenir et s'aider a avancer pour gagner les murailles ou quelques chefs mineurs hurlaient leur joie. La forteresse ne ressemblait qu'a un tas de pierre sans vie et sans magie.

Athila ramassa dans la main d'un de ses soldats un bout d'armure brisée. Elle leva les yeux et adressa une muette prière au ciel, qu'il ai sauvé Derrick et Sylvius.

Fendant la foule elle ordonna aux brigands de se replier de se desarmer et d'aider a entasser les morts sur un bucher, les cadavres pourrissants auraient pu les tuer. Elle lacha le bout d'armure et se tournant vers son neveu, elle lui sourit vaguement et partit vers le campement la mort dans l'ame et le coeur livré a milles peurs concernant l'avenir

* Edrian dont le cheval avait été mortellement atteind avait du sauter au sol vivement pour venir se faire percer d'une lame qui se trouvait la. Il poursuivit pourtant la bataille quand soudain il entendit un cri de victoire. Ils avaient gagné. Il lança sa lame au sol. Il en avait plus qu'assez touché a la jambe au talon et au ventre il se sentait faible. Il vit une des dirigeante des voleurs filer il décida lui de sonner la marche arrière. Les troupes de cavalier q'il avait firent bride arrière et entrerent dans le campemment.*